Concerts

C'est en 2019 que I'histoire de ce quartet bruxellois de jazz manouche débute.
L’esthétique du Quartet 508 se veut légère et énergique. Le choix des  morceaux ainsi que la manière de les arranger donnent une identité certaine  à cette toute nouvelle formation de Jazz manouche belge. Le répertoire  est influencé par l’ensemble de la carrière de Django Reinhardt et par les  musiciens qui s’associent avec lui comme Hubert Rostaing, Gus Viseur et  bien sûr Stéphane Grappelli. 
Quelques compositions viennent régulièrement s’ajouter au répertoire du  groupe, comme pour mieux dialoguer avec le passé. L’essentiel pour le  Quartet 508 est d’explorer cette esthétique particulière du jazz acoustique européen qui a vu le jour en 1934 avec le Quintette du Hot Club de France  et de continuer à jouer sur ce même vieux continent un jazz qui n’aurait  pu voir le jour en d’autres lieux ou en d’autres mains que celles de Django Reinhardt et de ses acolytes. 
 

Quelque part dans les années 90, Piet Maris, accordéoniste et chanteur de Jaune Toujours s’est
aventuré dans les milieux tziganes et fit des allers - retours vers une communauté Rom de Slovaquie. Son
accordéon à la main, il y prit des notes et enregistra les chansons qui font là-bas la vie de chaque jour.
C’est ce travail de terrain qui est à la base de Mec Yek : le répertoire a été fort arrangé par une partie de
l’équipage de Jaune Toujours.
Sans rester trop près des traditions et en surprenant la communauté Rom elle-même, Mec Yek
enthousiasme même les plus jeunes d’entre eux. Et c’est alors que deux jeunes chanteuses Romani - Katia
and Milka Pohlodkova - se jetèrent sur scène à la fin d’un concert d’hiver à Gand, pour ne plus jamais
repartir. Le spin-off tzigane de Jaune Toujours s’appelle Mec Yek!
Tout comme l’histoire de Mec Yek, leur musique est pleine de surprises. Comme successeur de
SuperDiverCity, fin 2021, ils ont sorti l’album Taisa, ce qui signifie ‘demain’. Le ‘mañana’ des Roms, on
pourrait dire. Et l'année Covid 2020 s'avérait décisive pour le son du nouveau répertoire.
Mec Yek a opté pour un dispositif léger avec des percussions, afin d’être facilement manoeuvrable et
de pouvoir répéter en toute sécurité dans les endroits les plus divers : en plein air ou dans de grands
espaces intérieurs, avec la distance nécessaire. A plupart des enregistrements ont étés faits de cette
manière, d’ailleurs, dans la salle de concerts du VK à Molenbeek.

Pour le répertoire-même, Katia et Milka sont retournées à leur jeunesse à Kosice, en Slovaquie, à une
démo de chansons qu'elles ont faite avec leurs frères. Mais il y a aussi des arrangements particuliers de
chansons traditionnelles roms. Les chansons sont chantées en romanès, mais parfois aussi en russe et il
ya même un petit bout en néerlandais. Avec une large palette musicale, de la tarentelle au ska en passant
par le blues des îles. Mais contre toute attente : Mec Yek est un groupe tzigane sans violon.

Dans le cadre du festival RockaLib :

The BigTrip reprend des standards du Rock, du Classic Rock au Rock Alternatif des années '90,
en passant par le Pop-Rock et le Rock Français, pour terminer sur une touche plus dansante
Électro-Rock, renforcée par des synthés et samplers.
Rolling Stones, David Bowie, Blur, Muse, et Radiohead, pour ne citer qu' eux, sont autant de
groupes-phares qui ont marqué l'Histoire du Rock, et qui forcément sont autant de références dans
lesquelles le groupe puise ses reprises.

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Autres groupes à l'affiche du festival RockaLib :

The Minds - A tribute to Simple Minds

Peasant Street

les élèves de l'asbl Arti'Zik

Le Centre culturel vous propose 5 Jam Rock en 2024 !

Une soirée musicale ouverte à toutes et tous.

Sur place, se trouvent une batterie, un ampli basse et deux amplis guitare, micros et lumière.

Venez partager avec nous ce moment musical en toute convivialité! Les non-musiciens sont les bienvenus !!

Quelques photos de la première Jam Rock du 03/11/2023

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Quelques photos de la première Jam Rock du 08/12/2023

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Quelques photos de la première Jam Rock du 09/02/2024

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GuitArt School, en collaboration avec le Centre culturel, lance le concept de Jam Rock ! 

Une soirée musicale ouverte à toutes et tous. 

En 1ère partie, la possibilité de reprendre des grands classiques du Rock (setlist disponible sur demande). L'improvisation sera le maître mot de la seconde partie, permettant à chaque musicien de s'exprimer sur scène !

Pour le lancement de ce cycle de Jam Rock, la première soirée sera précédée d'une conférence de Laurent Rieppi

https://ccpac.be/programmations/conferences/laurent-rieppi-utero-de-nirvana

Estelle a commencé la harpe à 5 ans et demi à l’académie de Courcelles avec Ingrid Procureur. Elle a eu la chance d’intégrer , au sein de l’académie, un ensemble de harpes qui s’est produit en Belgique et deux fois en Aveyron. A l’âge de 16 ans, elle a intégré le Conservatoire de Mons, Arts2, d’abord comme jeune talent et ensuite y a fait son baccalauréat. Dès septembre, elle entamera un master en pédagogie de la harpe à l’Imep.

En décembre 2021, le Centre culturel de Pont-à-Celles organisait, dans l'Église Saint Georges de Viesville, un concert réunissant la Chorale locale "La Porte aux Chansons" et le sopraniste Lionel Stoffel.

Fort de ce succès, et avec l'aide de Lionel Stoffel, nous avons souhaité mettre en place un Festival des Chorales (et Ensembles Vocaux) en 2023.

Trois chorales seront réunies et présenteront au public un aperçu de leur propre répertoire ainsi qu'un chant avec le sopraniste Lionel Stoffel. Le final réunira les trois ensembles vocaux et le sopraniste.

Ce concert se fera en présence de:

La Villanelle interprète des negro spirituals et des gospels qui ont marqué l'histoire des esclaves africains déportés sur le continent nord-américain. Son répertoire comporte aussi le jazz vocal et d'autres traditionnels qui colorent toujours notre univers musical contemporain parmi lesquels citons les musiques de film, les comédies musicales et les compositeurs du 20e siècle. Le répertoire évolue au gré des découvertes de créations musicales américaines modernes. Des mouvements de scène et un éclairage spécifique font ressortir les richesses harmoniques des chants.

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La Porte aux chansons est une chorale pont-à-celloise qui existe depuis de nombreuses années (années 70 sous le nom "Les Rossignoles"). Leur répertoire varié vogue entre chants classiques, chant gospels et chansons françaises.

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Le Relais des Chants. Créée en mars 1992, le Relais des Chants est une chorale à quatre voix mixtes comprenant une trentaine de choristes. 
Elle tient son nom du fait que les répétitions se passent au Centre Culturel de La Posterie de Courcelles, dont les bâtiments sont un ancien relais de poste.

La chorale est dirigée depuis sa création par Pierre Defossez,"conducteur" plutôt que "chef", imprégné à la fois de patience et de perfectionnisme, dont l'objectif premier est de partager avec les choristes son amour de la musique au travers de la pratique du chant choral. 
Soucieux de présenter des programmes variés et de qualité, il possède une âme de grand enfant, de poète qui se reflète dans le choix des oeuvres du répertoire qui s'étend du moyen âge à la chanson française en passant par les chants classiques et romantiques. 
Cette diversité nécéssite la mise en oeuvre d'un travail structurant comportant la pose de voix, la respiration, la diction, l'écoute et permet par ailleurs, au gré des lieux ou époques concernés, de rechercher et de (re)trouver la perception des ressentis et des émotions.
 

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Lionel Stoffel 

Enfant, Lionel Stoffel aime chanter. Il en est sûr, il en fera son métier. Cette certitude lui saute au cœur en entendant une chanson du film Titanic. Ses parents, dont aucun des deux ne provient du milieu artistique, perçoivent cette passion et la soutiennent.

Il suit alors des cours privés de chant et de piano. Très vite, il est repéré alors qu’il chante "Mexico", un air populaire d’opérette. Sa voix, même avant de muer, est juste et puissante pour monter dans les aigus. 

À l’âge adulte, il continuera à chanter haut, tout en parlant avec une voix grave. 
Il est sopraniste, une tessiture assez rare.

À 12 ans, il rencontre France Edmond, lauréate en chant au célèbre concours Reine Élisabeth. Cette rencontre a déterminé la suite de sa vie artistique, Ses parents, conscients de son don extraordinaire, l'inscrivent à l’Académie de Waterloo.

En parallèle, il réussit l’examen d’entrée à la Chapelle Musicale Reine Élisabeth où il intègre un cycle d’un an pour jeunes candidats. « Une année menée à ‘double vitesse’ où il a côtoyé de grands chanteurs et musiciens comme José van Dam, Abdel Rahman El Bacha ou Arie van Lysebeth...

Ensuite tout s’enchaîne : l’entrée comme jeune talent au Conservatoire de Bruxelles, les concerts, la participation à des événements publics et télévisés, le gala annuel ...

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𝐄𝐧𝐯𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐰𝐢𝐧𝐠𝐮𝐞𝐫 ? 𝐄𝐧𝐯𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐞𝐫 à 𝐥𝐚 𝐣𝐚𝐦 ?
𝐑𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 à 𝐥𝐚 𝐃𝐣𝐚𝐳𝐳𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐥𝐞 𝐯𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢 𝟐𝟒 𝐦𝐚𝐫𝐬 𝐝è𝐬 𝟐𝟎.𝟎𝟎. 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐇𝐞𝐫𝐦𝐚𝐧𝐧 

Personnage haut-en-couleurs naviguant largement hors des sentiers battus, Piwi Leman est un véritable touche-à-tout sachant aussi bien jongler avec les instruments que les styles musicaux.
Infatigable travailleur menant souvent de front plusieurs projets, c’est aussi un homme entier et lucide qui utilise sans tricher la langue de Molière.
Troubadour, saltimbanque des temps modernes, homme au grand cœur, il sait partager à la fois avec son public mais aussi avec d’autres compagnons de route et à chaque fois qu’il le peut, épaule un jeune artiste en devenir.
En 2023, Piwi Leman propose un nouveau tour de chant en duo accompagnée par son ami guitariste Yvan Rother (Bruxelles)
Armé de "Rosie" sa pelle guitare, de "Jacqueline" et "Ibri" ses cigares box, de "PéPé" son ukulélé électrique, de "Alain-Guy" son Banjolélé, de ses cloches et caisses aux pieds, il offre un univers musical étonnant où viennent se déposer des textes surprenants, poétiques et vivants.
 

Laissez-vous charmer par l’aventure qui s’offre à vous… La croisée des chemins n’a jamais été aussi proche…

Le Hermann Sextet est le fruit de la rencontre de six musiciens de jazz dans un lieu hors du commun à
Bruxelles, la taverne Hermann. Dès sa création, le groupe décide de mettre son tempo au service des
danseurs de swing, lindy hop et balboa. Constitué d’une section rythmique avec batterie, guitare, piano
et contrebasse et de deux solistes à la trompette et au violon, le Hermann Sextet développe un univers
musical instrumental et chanté, fortement inspiré du jazz des années 30, en passant par Count Basie,
Django Reinhardt ou Nat King Cole. Depuis plusieurs années, ils animent très régulièrement des soirées
swing pour le plus grand plaisir des spectateurs et des danseurs. Groupe incontournable de la scène swing
Bruxelloise, le Hermann Sextet propose un swing plein d’énergie et insuffle une irrésistible envie de
danser.