Musique

Wonky Clock est né au début de l’année 2015 de la rencontre improbable entre un dj/producteur de musique électronique et une flûtiste issue du Conservatoire Classique. Après une longue phase de maturation en studio, le duo commence à se produire sur scène à la fois en Belgique et en France. Leur musique surprend et interpelle : Wonky Clock offre en effet au public un véritable récital où les compositions emblématiques de Tchaïkovski, Schubert ou encore Brahms croisent beats hip hop, wobbles tonitruantes et basslines enfumées. Au fil des concerts, les morceaux proposés par le duo s’affinent et un univers très particulier, devant autant à l’esthétique de la Belle Epoque qu’aux climats industriels du dubstep, voit peu à peu le jour.
 

teaser & interview : https://www.youtube.com/watch?v=O40icuTP1pQ 

C'est en 2019 que I'histoire de ce quartet bruxellois de jazz manouche débute.
L’esthétique du Quartet 508 se veut légère et énergique. Le choix des  morceaux ainsi que la manière de les arranger donnent une identité certaine  à cette toute nouvelle formation de Jazz manouche belge. Le répertoire  est influencé par l’ensemble de la carrière de Django Reinhardt et par les  musiciens qui s’associent avec lui comme Hubert Rostaing, Gus Viseur et  bien sûr Stéphane Grappelli. 
Quelques compositions viennent régulièrement s’ajouter au répertoire du  groupe, comme pour mieux dialoguer avec le passé. L’essentiel pour le  Quartet 508 est d’explorer cette esthétique particulière du jazz acoustique européen qui a vu le jour en 1934 avec le Quintette du Hot Club de France  et de continuer à jouer sur ce même vieux continent un jazz qui n’aurait  pu voir le jour en d’autres lieux ou en d’autres mains que celles de Django Reinhardt et de ses acolytes. 
 

Quelque part dans les années 90, Piet Maris, accordéoniste et chanteur de Jaune Toujours s’est
aventuré dans les milieux tziganes et fit des allers - retours vers une communauté Rom de Slovaquie. Son
accordéon à la main, il y prit des notes et enregistra les chansons qui font là-bas la vie de chaque jour.
C’est ce travail de terrain qui est à la base de Mec Yek : le répertoire a été fort arrangé par une partie de
l’équipage de Jaune Toujours.
Sans rester trop près des traditions et en surprenant la communauté Rom elle-même, Mec Yek
enthousiasme même les plus jeunes d’entre eux. Et c’est alors que deux jeunes chanteuses Romani - Katia
and Milka Pohlodkova - se jetèrent sur scène à la fin d’un concert d’hiver à Gand, pour ne plus jamais
repartir. Le spin-off tzigane de Jaune Toujours s’appelle Mec Yek!
Tout comme l’histoire de Mec Yek, leur musique est pleine de surprises. Comme successeur de
SuperDiverCity, fin 2021, ils ont sorti l’album Taisa, ce qui signifie ‘demain’. Le ‘mañana’ des Roms, on
pourrait dire. Et l'année Covid 2020 s'avérait décisive pour le son du nouveau répertoire.
Mec Yek a opté pour un dispositif léger avec des percussions, afin d’être facilement manoeuvrable et
de pouvoir répéter en toute sécurité dans les endroits les plus divers : en plein air ou dans de grands
espaces intérieurs, avec la distance nécessaire. A plupart des enregistrements ont étés faits de cette
manière, d’ailleurs, dans la salle de concerts du VK à Molenbeek.

Pour le répertoire-même, Katia et Milka sont retournées à leur jeunesse à Kosice, en Slovaquie, à une
démo de chansons qu'elles ont faite avec leurs frères. Mais il y a aussi des arrangements particuliers de
chansons traditionnelles roms. Les chansons sont chantées en romanès, mais parfois aussi en russe et il
ya même un petit bout en néerlandais. Avec une large palette musicale, de la tarentelle au ska en passant
par le blues des îles. Mais contre toute attente : Mec Yek est un groupe tzigane sans violon.

Dans le cadre du festival RockaLib :

The BigTrip reprend des standards du Rock, du Classic Rock au Rock Alternatif des années '90,
en passant par le Pop-Rock et le Rock Français, pour terminer sur une touche plus dansante
Électro-Rock, renforcée par des synthés et samplers.
Rolling Stones, David Bowie, Blur, Muse, et Radiohead, pour ne citer qu' eux, sont autant de
groupes-phares qui ont marqué l'Histoire du Rock, et qui forcément sont autant de références dans
lesquelles le groupe puise ses reprises.

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Autres groupes à l'affiche du festival RockaLib :

The Minds - A tribute to Simple Minds

Peasant Street

les élèves de l'asbl Arti'Zik

Le Centre culturel vous propose 5 Jam Rock en 2024 !

Une soirée musicale ouverte à toutes et tous.

Sur place, se trouvent une batterie, un ampli basse et deux amplis guitare, micros et lumière.

Venez partager avec nous ce moment musical en toute convivialité! Les non-musiciens sont les bienvenus !!

Quelques photos de la première Jam Rock du 03/11/2023

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Quelques photos de la première Jam Rock du 08/12/2023

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Quelques photos de la première Jam Rock du 09/02/2024

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GuitArt School, en collaboration avec le Centre culturel, lance le concept de Jam Rock ! 

Une soirée musicale ouverte à toutes et tous. 

En 1ère partie, la possibilité de reprendre des grands classiques du Rock (setlist disponible sur demande). L'improvisation sera le maître mot de la seconde partie, permettant à chaque musicien de s'exprimer sur scène !

Pour le lancement de ce cycle de Jam Rock, la première soirée sera précédée d'une conférence de Laurent Rieppi

https://ccpac.be/programmations/conferences/laurent-rieppi-utero-de-nirvana

"In Utero" est le troisième et dernier album studio du groupe américain Nirvana, sorti en septembre 1993.
À l'occasion des 30 ans de l'album, Laurent Rieppi viendra partager ses connaissances et de nombreuses anecdotes sur la préparation et l'enregistrement du disque.

La conférence sera suivie par la 1ère JAM ROCK proposée par GuitArt School !

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Laurent Rieppi est un chroniqueur-radio, journaliste et auteur belge né à Seraing le 14 octobre 1980. Dès l’âge de 7 ans, il devient fan de rock en découvrant Queen. À 13 ans, il débute dans une radio libre avec un ami.

Auteur de «David Bowie: de A à Z» (2013), de «Lou Reed : on the Wild Side» (2014) et de «We Will Rock You : Queen de A à Z » avec Antoine Binamé, il a programmé, rédigé et dirigé les chroniques Making-of pour Marc Ysaye pendant plus de dix ans, il a ainsi co-signé avec ce dernier plusieurs ouvrages consacrés à la réalisation des plus grands albums de l’histoire du rock et a remporté avec lui en 2010 le Grand Prix des radios francophones publiques catégorie « format court».

Spécialiste du rock et riche d’une expérience de près de 20 ans dans les médias, il a eu l’occasion de rencontrer et de côtoyer de nombreux artistes clefs de grandes formations musicales telles que Queen, Pink Floyd, Deep Purple, Rolling Stones, The Police, Genesis, Foo Fighters ainsi que des artistes tels que Joe Cocker, Leonard Cohen, Marianne Faithfull, Nick Cave…

Vous pouvez retrouver ces chroniques sur Classic 21 et en podcast.

Estelle a commencé la harpe à 5 ans et demi à l’académie de Courcelles avec Ingrid Procureur. Elle a eu la chance d’intégrer , au sein de l’académie, un ensemble de harpes qui s’est produit en Belgique et deux fois en Aveyron. A l’âge de 16 ans, elle a intégré le Conservatoire de Mons, Arts2, d’abord comme jeune talent et ensuite y a fait son baccalauréat. Dès septembre, elle entamera un master en pédagogie de la harpe à l’Imep.

Ciné-concert avec la projection du film mythique de Murnau (1922) : NOSFERATU ... un des premiers film d'Horreur du cinéma.

Synopsis ... (mais est-ce vraiment nécessaire !)
Le scénario de Henrik Galeen est évidemment une adaptation du Dracula de Bram Stoker paru en 1897.
Mais il prend des libertés par rapport à l'oeuvre originale: 
- modification du lieu de l'action: vous serez plongé dans la ville imaginaire de Wisborg au lieu de Londres (ville fictive largement inspirée des villes de Wismar et de Lübeck où les scènes ont été tournées);
- modification des noms des personnages;
- particularité du vampire (mais reprise dans de nombreux films du genre !): la lumière du jour peut le tuer (Dans le roman, Dracula se promène à Londres, en pleine journée). 
Pour le reste, la trame narrative est respectée.

Une musique originale envoutante accompagne le film et plonge le spectateur dans une sorte d'hypnose ... comme la victime du vampire ! Un accompagnement au violoncelle et voix avec Matthieu Safatly.

Violoncelliste, chanteur, créateur sonore et alter mixer français basé à Bruxelles depuis 2003, il commence l'apprentissage musical à l'âge de 7 ans au Conservatoire de Rouen.
Il compose en 1995 au sein de Quattrophage et sort en 1996 un premier album sur le mythique label Sordide Sentimental .
Depuis, il multiplie les concerts et enregistre, à travers l'Europe et de l'autre côté de l'Atlantique, en solo, dans des installations audiovisuelles. en trio avec John Russell et Jean-Jacques Duerinckx , au sein de Wild Shores(musique électronique), Black Sifichi & Negative Stencil (cabaret électro-poétique), Nava Rasa (trio voix-tablas-violoncelle de musique indienne avec Sandhya Sanjana aux Pays-Bas), Present (groupe issu du célèbre combo belge Univers Zero )… ainsi que dans des collaborations avec Norscq , Jim Denley , Denis Fragerman , Björn Jauss …
Il pratique également la musique pour le théâtre (sur du Heiner Müller avec la Compagnie Faim de Siècle , dans des "gueuloirs" à thème, sur du Verreghenavec Jean-Claude Derudder…), la chorégraphie (dans le projet Mona XY de Yves Mora ) et pour des projections (aux Festival de la Photographie à Arles , sur des films sans paroles entre autres au Nova…).
En 2022, douze années après mon premier album, il entame la création d'un nouvel opus.

https://www.fantomus.com/nosferatu-nouveaute

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